23 janvier 2009

DCS - Black Shark


Je sais, je traine un peu pour la suite de Far West 2008... Je ne sais pas, parfois, je n'arrive pas à remplir cette putain de page blanche.

Mais en attendant, je découvre avec délice un nouveau simulateur : DCS (Digital Combat Simulator) : Black Shark.
Ah il s'est fait attendre celui là, mais ça en valait la peine. Par rapport à son prédécesseur Lock-On : Flaming Cliff, qui permettait déjà de piloter un Su-25T très détaillé, on a encore passé un étape. L'hélicoptère de combat Russe Ka-50 Black Shark est un rêve de geek de simulateur : cockpit full 3D entièrement clickable, avec tous les switches et boutons fonctionnels, modèle de vol aux petits oignons, systèmes informatiques, GPS, navigation inertielle, visée télévision et laser... Quarante-cinq minutes pour démarrer les moteurs, pilotage technique, gestion des dégats jusqu'aux pneus qui éclatent lors d'atterrissages durs...

L'antique moteur graphique de l'ancêtre Flanker 2 accuse son âge, mais permet encore de belles images. Mission d'entraînement :

En route vers la cible, au ras du sol comme il se doit.

En approche, on ralentit et on essaye de stabiliser la machine en stationnaire.

Sationnaire face à la cible, une gerbe de flares pour... euh pour faire joli.

Pop-up de derrière une colline, et on détruit méthodiquement les chars Leopard au missiles Vikhr guidés par laser.

Le canon est orientable est vise automatiquement le point désigné par la caméra Shkval. Pratique.

Cibles détruites. Retour à la base.

Atterrissage, c'est dépaysant avec un hélico.

Et au parking, moteur coupé, cockpit ouvert, on prend l'air.